keen on believing in the magic of food,
I've already got proven that baking can change your perspective towards life
very ambitious indeed but often true
officially unable to read books that are too straight-forward on particularly delicate topics
have the tendency to look for some channelling title like the one have just got to the very end
remember it - already mentioned to you some days ago
then again, much more convinced right now after 360 pages
it's the story of Angel, selling cakes to the peculiar population of Rwanda's capital
to each special event corresponds a special cake, the novel being chaptered according to this structure
and each cake gets a personal & intimate story behind
revealed by Angel's clients while filling in the cake order & sipping the cardamomo tea
with a slow & rhythmic style, Gaile Parkin takes a picture of a country & invites us to flick through further to bump - page after page - into all the wounds of its people
when said & unsaid come up together whispered with a gentle, ironic approach
greet & enjoy another good novel on food therapy!
"Yes, she was still very sad. But somehow, in a small way, part of her dispair had changed.
It had turned to hope".
this blog wants to be a "récit de vie": books, food, friends, trips & co... I like to think life is a way to gather & share experiences, through art or through people... allow ourselves to share this space, with some words maybe allow ourselves to use the language we prefer...
Monday, November 29
Mes romans à MOI
je suis chez vous, monsieur
je suis curieuse, très curieuse
mes yeux cherchent vos livres, toute de suite
mon regard parcourt les titres qui sont disposés bien en ordre dans votre "librairie",
mais aussi et surtout il se pose sur les bouquins qui sont
- parce que vous êtes un vrai lecteur (sinon, probablement je ne serais pas là) -
partout dans la pièce...
presque partout dans votre espace vital,
en fin PARTOUT
(ça suffit, hein?)
et voilà que mon attention est sur un titre, vous l'avez lu aussi?
alors, racontez-moi, svp, c'est quand que vous êtes tombé sur Au bon roman?
quelqu'un vous l'a conseillé?
vous l'avez acheté où - à Bxl ou bien ailleurs?
(vous savez, il a déjà été traduit en anglais et en italien...)
et bien, le plus important, est-ce que vous l'avez aimé, monsieur?
moi, j'ai adoré ce livre!!!
avez-vous trouvé la vraie raison du livre en suivant la naissance à Paris d'une librairie très originale, dont Francesca et Ivan (une mécène et un libraire, tous doux passionnés de littérature) ont choisir de vendre "que des bons romans", et souhaitant réagir à la profusion de romans sans grande valeur littéraire???
avez-vous remarqué la structure particulière de l'histoire - un récit dans le récit?
la technique (meta-diégèse) est utilisé avec souplesse : la nature de « narration dans la narration » de ce récit des origines de la librairie tend parfois à devenir invisible (ce dont l'auteur joue souvent pour produire des effets poétiques)
...et dans cette narration secondaire s'insèrent par ailleurs plusieurs lettres...
le récit de la création de la librairie est une bonne excuse pour lancer toute une réflexion sur la mise en place d'une entreprise culturelle et ses difficultés,
et au même temps l'occasion de citer plusieurs "grands romans"...
comment on peut choisir les "bons romans", alors?
est-ce que le gout des passionnés de littérature, des gens qui ont "l'habitude" aux romans
(et pour ça il en connaissent forcement plusieurs),
ça suffit pour garantir la meilleure choix?
est-ce que c'est raisonnable croire que la choix de quelqu'un d'autre
puisse nous indiquer le chemin vers ce que NOUS, nous allons aimer?
est-ce que ce quelqu'un d'autre a bien le droit d'y penser pour nous?
pensez-vous donc, monsieur, qu'il soit possible de vraiment partager Le Goût
- tellement personnel par définition, par ailleurs -
quand il s'agit de se plonger dans le plaisir d'une histoire
dans laquelle on veut parfois se rétrouver et
qu'on désire parfois qu'il puisse nous éloigner de la réalité...
est-ce que vous croyez, en fin, cher monsieur, dans le relativisme littéraire?
je suis curieuse, très curieuse
mes yeux cherchent vos livres, toute de suite
mon regard parcourt les titres qui sont disposés bien en ordre dans votre "librairie",
mais aussi et surtout il se pose sur les bouquins qui sont
- parce que vous êtes un vrai lecteur (sinon, probablement je ne serais pas là) -
partout dans la pièce...
presque partout dans votre espace vital,
en fin PARTOUT
(ça suffit, hein?)
et voilà que mon attention est sur un titre, vous l'avez lu aussi?
alors, racontez-moi, svp, c'est quand que vous êtes tombé sur Au bon roman?
quelqu'un vous l'a conseillé?
vous l'avez acheté où - à Bxl ou bien ailleurs?
(vous savez, il a déjà été traduit en anglais et en italien...)
et bien, le plus important, est-ce que vous l'avez aimé, monsieur?
moi, j'ai adoré ce livre!!!
avez-vous trouvé la vraie raison du livre en suivant la naissance à Paris d'une librairie très originale, dont Francesca et Ivan (une mécène et un libraire, tous doux passionnés de littérature) ont choisir de vendre "que des bons romans", et souhaitant réagir à la profusion de romans sans grande valeur littéraire???
avez-vous remarqué la structure particulière de l'histoire - un récit dans le récit?
la technique (meta-diégèse) est utilisé avec souplesse : la nature de « narration dans la narration » de ce récit des origines de la librairie tend parfois à devenir invisible (ce dont l'auteur joue souvent pour produire des effets poétiques)
...et dans cette narration secondaire s'insèrent par ailleurs plusieurs lettres...
le récit de la création de la librairie est une bonne excuse pour lancer toute une réflexion sur la mise en place d'une entreprise culturelle et ses difficultés,
et au même temps l'occasion de citer plusieurs "grands romans"...
comment on peut choisir les "bons romans", alors?
est-ce que le gout des passionnés de littérature, des gens qui ont "l'habitude" aux romans
(et pour ça il en connaissent forcement plusieurs),
ça suffit pour garantir la meilleure choix?
est-ce que c'est raisonnable croire que la choix de quelqu'un d'autre
puisse nous indiquer le chemin vers ce que NOUS, nous allons aimer?
est-ce que ce quelqu'un d'autre a bien le droit d'y penser pour nous?
pensez-vous donc, monsieur, qu'il soit possible de vraiment partager Le Goût
- tellement personnel par définition, par ailleurs -
quand il s'agit de se plonger dans le plaisir d'une histoire
dans laquelle on veut parfois se rétrouver et
qu'on désire parfois qu'il puisse nous éloigner de la réalité...
est-ce que vous croyez, en fin, cher monsieur, dans le relativisme littéraire?
Thursday, November 18
petit carnet de voyage
parfois - souvent - on est tellement focalisés sur la destination du voyage qu'on oublie de profiter de l'itinéraire...
à l'atteinte d'arriver au bout du chemin
pressés par nos mêmes illusions
est-ce qu'on est de façon consciente à la hâte de trouver une nouvelle dimension???
JE NE SAIS RIEN
peut-être oui
peut-être no
peut-être peut-être
le chemin ne nous engage pas à l'observation, mais un sentiment qui se colle à une image
- inattendu le première inaperçue la deuxième -
peut nous réveiller de notre sommeil émotionnel
c'est le voyage par définition
ça doit être le changement de lieu
le bouleversement du timing
le mouvement lent du train ou le rythme irrégulier du vol
je me retrouve toujours avec une révélation, toujours la même par ailleurs
et je retrouve toujours notés dans mon carnet - parce que je puisse me le rappeler au cas où - au retour de chaque déplacement, les mots suivants:
c'est bien dit que C'EST LE VOYAGE LA RÉCOMPENSE
et j'ai envie de réussir à profiter de chaque moment de ce voyage, n'importe où il va m'amener
(au lieu de me casser la tête en essayant d'aboutir à je ne sais même pas quoi)
si seulement j'étais vraiment capable de l'appliquer à ma vie!!!
mais je ne le suis pas...
et en réflechissant sur ça, je goute un tout petit peu de dulce de leche (qui va m'aider à dormir - j'espère) et je me plonge dans les pages de Le malentendu (le dernière roman sur le goût d'aimer... )
à l'atteinte d'arriver au bout du chemin
pressés par nos mêmes illusions
est-ce qu'on est de façon consciente à la hâte de trouver une nouvelle dimension???
JE NE SAIS RIEN
peut-être oui
peut-être no
peut-être peut-être
le chemin ne nous engage pas à l'observation, mais un sentiment qui se colle à une image
- inattendu le première inaperçue la deuxième -
peut nous réveiller de notre sommeil émotionnel
c'est le voyage par définition
ça doit être le changement de lieu
le bouleversement du timing
le mouvement lent du train ou le rythme irrégulier du vol
je me retrouve toujours avec une révélation, toujours la même par ailleurs
et je retrouve toujours notés dans mon carnet - parce que je puisse me le rappeler au cas où - au retour de chaque déplacement, les mots suivants:
c'est bien dit que C'EST LE VOYAGE LA RÉCOMPENSE
et j'ai envie de réussir à profiter de chaque moment de ce voyage, n'importe où il va m'amener
(au lieu de me casser la tête en essayant d'aboutir à je ne sais même pas quoi)
si seulement j'étais vraiment capable de l'appliquer à ma vie!!!
mais je ne le suis pas...
et en réflechissant sur ça, je goute un tout petit peu de dulce de leche (qui va m'aider à dormir - j'espère) et je me plonge dans les pages de Le malentendu (le dernière roman sur le goût d'aimer... )
Saturday, November 13
Fancy Baking del Sabato sera
metti che é sabato sera e fuori c'è il mare magnum cum piscitellis
e metti che sei esausta perché hai dedicato le tue energie quotidiane cacciando svariate paia di stivali very fancy di svariate forme (e colori)
e dunque metti che le forze di uscire dal tuo nido (molto fancy) proprio non ce le hai
e metti che non hai neppure la tele (tanto non danno mai niente di fancy) e di decidere sul titolo di un film in fancy-streaming non se ne parla...
e metti che ti appresti ad andartene tranquillamente a letto (bellamente da sola e bellamente alle 21 circa, superfancy!) pigiamata e pronta ad immergerti nella lettura dell'ultimo fancy-romanzo, ecco che arriva l'ispirazione...
lasci pag 74 di Baking Cakes in Kigali e ti decidi a profumare (e riscaldare) il nido a quest'ora un po improbabile...
(perché per te sfornare un dolce é una dose multilpla di endorfina ed un gesto d'amore)
ecco l'ultima versione dei più volte sperimentati Skinny Banana-Chocolate Mini-cakes!
ingredienti, dosi & variazioni concesse (per circa 12 mini-cakes)
2 uova (bio)
125 gr (6 cucchiai) zucchero di canna
200 gr farina integrale (bio)
125 gr becel light (per chi non ha problemi di colesterolo va bene anche la stessa dose di burro/margarina)
100 gr cioccolata fondente (fair-trade)
3 banane (bio)
1 bustina di lievito (io uso solo Pane degli Angeli per evitare spiacevoli scherzetti)
all'opera!
(NB se ci metti la giusta dose di amore, in +/- 15 mins l'impasto é pronto ad essere distribuito nei tuoi stampini preferiti)
- in un pentolino antiaderente fai sciogliere la cioccolata con il becel/burro a fuoco lento (3 mins), fino ad ottenere una cremina deliziosa
- in una terrina rompi le uova e mescolale bene con lo zucchero, fino a che il composto risulti spumoso (3 mins)
- aggiungi le banane precedentemente schiacciate (1 min), la farina ed il lievito, infine versi la cremina deliziosa, mescoli tutto ben benino (qualche mins)
- distribuisci negli stampini e inforni a 180 gradi per circa 30 mins, verifichi la cottura dei dolcetti inserendo uno stuzzicandenti al centro, deve risultare asciutto!!!
(NB il tempo di cottura é legato alla dimensione dei dolcetti)
adesso che ne ho mangiato uno con una cucchiaiata di gelato alla vaniglia bio (squisitamente fancy direi), posso rimettere il pigiama e riprendere il filo a pag 74...
e vi auguro una fancy notte ;-)
e metti che sei esausta perché hai dedicato le tue energie quotidiane cacciando svariate paia di stivali very fancy di svariate forme (e colori)
e dunque metti che le forze di uscire dal tuo nido (molto fancy) proprio non ce le hai
e metti che non hai neppure la tele (tanto non danno mai niente di fancy) e di decidere sul titolo di un film in fancy-streaming non se ne parla...
e metti che ti appresti ad andartene tranquillamente a letto (bellamente da sola e bellamente alle 21 circa, superfancy!) pigiamata e pronta ad immergerti nella lettura dell'ultimo fancy-romanzo, ecco che arriva l'ispirazione...
lasci pag 74 di Baking Cakes in Kigali e ti decidi a profumare (e riscaldare) il nido a quest'ora un po improbabile...
(perché per te sfornare un dolce é una dose multilpla di endorfina ed un gesto d'amore)
ecco l'ultima versione dei più volte sperimentati Skinny Banana-Chocolate Mini-cakes!
ingredienti, dosi & variazioni concesse (per circa 12 mini-cakes)
2 uova (bio)
125 gr (6 cucchiai) zucchero di canna
200 gr farina integrale (bio)
125 gr becel light (per chi non ha problemi di colesterolo va bene anche la stessa dose di burro/margarina)
100 gr cioccolata fondente (fair-trade)
3 banane (bio)
1 bustina di lievito (io uso solo Pane degli Angeli per evitare spiacevoli scherzetti)
all'opera!
(NB se ci metti la giusta dose di amore, in +/- 15 mins l'impasto é pronto ad essere distribuito nei tuoi stampini preferiti)
- in un pentolino antiaderente fai sciogliere la cioccolata con il becel/burro a fuoco lento (3 mins), fino ad ottenere una cremina deliziosa
- in una terrina rompi le uova e mescolale bene con lo zucchero, fino a che il composto risulti spumoso (3 mins)
- aggiungi le banane precedentemente schiacciate (1 min), la farina ed il lievito, infine versi la cremina deliziosa, mescoli tutto ben benino (qualche mins)
- distribuisci negli stampini e inforni a 180 gradi per circa 30 mins, verifichi la cottura dei dolcetti inserendo uno stuzzicandenti al centro, deve risultare asciutto!!!
(NB il tempo di cottura é legato alla dimensione dei dolcetti)
Skinny Banana-Chocolate Mini-Cakes |
e vi auguro una fancy notte ;-)
Monday, November 8
en busca del Amor, en busca de uno mismo?
"Baja y pídete una copa; nadie dijo que fuera fácil entender el amor."
(Begoña Huertas, "En el Fondo. Pide una copa, paga Proust")
"La gente se vuelve loca intentando actuar de la forma adecuada, tratar a los demás de manera mas educada posible, sin ofender a nadie, sin herir los sentimientos de nadie.
"La gente se vuelve loca intentando actuar de la forma adecuada, tratar a los demás de manera mas educada posible, sin ofender a nadie, sin herir los sentimientos de nadie.
Error. Por mucho que intentemos evitarlo, por muy buenas que sean nuestras intenciones, siempre provocaremos dolor a otros.
Presumiblemente, a alguien a quien apreciamos o queremos.
Así es la vida, así es el ser humano. Chocamos unos con otros en el día a día.
A algunos los dejamos pasar; a otros nos agarramos y creamos lazos que creemos indestructibles."
(Cristina Martínez, "Medias naranjas")
es posible conseguir la felicidad sin renunciar a nosotros mismos?
sigo con esta actitud de comprar novelas cuyo titulo me atrae sin remedio
(Cristina Martínez, "Medias naranjas")
es posible conseguir la felicidad sin renunciar a nosotros mismos?
sigo con esta actitud de comprar novelas cuyo titulo me atrae sin remedio
debe ser, entonces, por una mezcla entre esta costumbre y la casualidad de ir rondando por Madrid - en plena reflexión personal sobre el tema de siempre - que las dos me han dejado enganchada después de las primeras paginas...
y que?
hay un lugar, un sitio, un bar de copas donde la gente se encuentra, donde los retratos de los personajes se dibujan, donde las imagenes se colorean de sus sentimientos, donde la acción de parte de la novela se desarrolla
hay una voz narrante que nos acompaña al descubrimiento - lento y estructurado - no tan solo de nuestros protagonistas, sino también y sobretodo de las luces y de las sombras de sus propias historias
hay un lector que arranca curioso y perdido entre los enlaces y desenlaces de seres humanos que al fin y al cabo se encuentran solos en frente de su espejo, aunque esten en pareja
hay palabras bien conectadas que costruyen diálogos entre ellos, cartas, reflexiones abiertas, mentira y verdad en cada trozo de conversación - miedo y desilusión al mismo tiempo - acto seguido
hay cambios de ritmo y de tiempo y de estilo según el capitulo y según el momento del tejido emocional
hay sobre todo investigación de lo que - a pesar de todo - acaba siendo siempre el tema mas profundizado y tratado por la literatura, el Amor
es que hay posibilidad alguna de encontrar este Amor - de la forma en la que cada uno lo idealice y lo desee y lo perciba - sin perdernos en el camino, intentando llegar a esta felicidad tan añorada?
es que hay - si a caso - oportunidad de que llegue, este Amor, sin dejarnos con la percepción de que para que "funcione" tenemos que bajar a compromisos, no solo con nuestra pareja sino sobretodo con nosotros mismos?
es que hay - tal vez - una salida para cuando, siempre este Amor que a veces no corresponde con nuestra propia idea, nos deje sin energía intentándolo entender aunque no se pueda?
no creo, pero no me cabe duda de que siempre merece la pena vivirlo
hay un lugar, un sitio, un bar de copas donde la gente se encuentra, donde los retratos de los personajes se dibujan, donde las imagenes se colorean de sus sentimientos, donde la acción de parte de la novela se desarrolla
hay una voz narrante que nos acompaña al descubrimiento - lento y estructurado - no tan solo de nuestros protagonistas, sino también y sobretodo de las luces y de las sombras de sus propias historias
hay un lector que arranca curioso y perdido entre los enlaces y desenlaces de seres humanos que al fin y al cabo se encuentran solos en frente de su espejo, aunque esten en pareja
hay palabras bien conectadas que costruyen diálogos entre ellos, cartas, reflexiones abiertas, mentira y verdad en cada trozo de conversación - miedo y desilusión al mismo tiempo - acto seguido
hay cambios de ritmo y de tiempo y de estilo según el capitulo y según el momento del tejido emocional
hay sobre todo investigación de lo que - a pesar de todo - acaba siendo siempre el tema mas profundizado y tratado por la literatura, el Amor
es que hay posibilidad alguna de encontrar este Amor - de la forma en la que cada uno lo idealice y lo desee y lo perciba - sin perdernos en el camino, intentando llegar a esta felicidad tan añorada?
es que hay - si a caso - oportunidad de que llegue, este Amor, sin dejarnos con la percepción de que para que "funcione" tenemos que bajar a compromisos, no solo con nuestra pareja sino sobretodo con nosotros mismos?
es que hay - tal vez - una salida para cuando, siempre este Amor que a veces no corresponde con nuestra propia idea, nos deje sin energía intentándolo entender aunque no se pueda?
no creo, pero no me cabe duda de que siempre merece la pena vivirlo
Sunday, November 7
Where is the TRICK???
simple are feelings once unveiled
simply irrational they are by definition
complicated is affection when doubtful
much complicated it gets if cheated
restlessly patient tends to be hope along the way
risky and blind are emotions by themselves - irrational
turned up we feel when we meet somebody unreasonably attractive
turned around we are when we want to believe - human nature can't always oppose itself to stomach cramps as emotional disquiet
playful we state to be often
mocked we end up sometimes
encouraged and straight-forward we may be at the beginning
discouraged and self-protective we find ourselves inevitably once discovered the trick...
In Signalling Games the Sender (S) has a certain "natural" type and observes it.
The Receiver (R) does not know the type of the sender.
Based on his own knowledge, (S) chooses to send a message from a set of possible ones.
(R) observes the message but not the type of the sender.
Then (R) chooses an action from a set of feasible actions.
The two players receive payoffs dependent on the Sender's type, the message chosen by the Sender and the action chosen by the Receiver...
Under what conditions honest signalling can be an equilibrium of the game?
Under what conditions can we expect rational people to reveal information about their types?
Suppose a Signaler can be either starving or just hungry, and he can signal that fact to another individual which has food. Suppose that he would like more food, but that the individual with food only wants to give him the food if he is starving.
While both players have identical interests when the Signaler is starving, they have opposing interests when he is only hungry.When the Signaler is hungry he has an incentive to lie about his need in order to obtain the food.
And if the Signaler regularly lies, then the Receiver should ignore the signal and do whatever she thinks best.
CASE 1, both parties have coinciding interest - they both prefer the same outcomes in all situations - then honesty is an equilibrium.
(Although - in exceptional cases - non-communicative equilbria exist as well - really???)
CASE 2, the parties' interests do not perfectly overlap, then the maintenance of informative signaling systems raises an important problem...
Mathematics always gives us "answers", then...
WANT TO KNOW MORE ABOUT RELATIONSHIPS WOMEN-MEN?
DO ENJOY some GAME THEORY ;-)
and...to my Friends: NEXT!!!
simply irrational they are by definition
complicated is affection when doubtful
much complicated it gets if cheated
restlessly patient tends to be hope along the way
risky and blind are emotions by themselves - irrational
turned up we feel when we meet somebody unreasonably attractive
turned around we are when we want to believe - human nature can't always oppose itself to stomach cramps as emotional disquiet
playful we state to be often
mocked we end up sometimes
encouraged and straight-forward we may be at the beginning
discouraged and self-protective we find ourselves inevitably once discovered the trick...
In Signalling Games the Sender (S) has a certain "natural" type and observes it.
The Receiver (R) does not know the type of the sender.
Based on his own knowledge, (S) chooses to send a message from a set of possible ones.
(R) observes the message but not the type of the sender.
Then (R) chooses an action from a set of feasible actions.
The two players receive payoffs dependent on the Sender's type, the message chosen by the Sender and the action chosen by the Receiver...
Under what conditions honest signalling can be an equilibrium of the game?
Under what conditions can we expect rational people to reveal information about their types?
Suppose a Signaler can be either starving or just hungry, and he can signal that fact to another individual which has food. Suppose that he would like more food, but that the individual with food only wants to give him the food if he is starving.
While both players have identical interests when the Signaler is starving, they have opposing interests when he is only hungry.When the Signaler is hungry he has an incentive to lie about his need in order to obtain the food.
And if the Signaler regularly lies, then the Receiver should ignore the signal and do whatever she thinks best.
CASE 1, both parties have coinciding interest - they both prefer the same outcomes in all situations - then honesty is an equilibrium.
(Although - in exceptional cases - non-communicative equilbria exist as well - really???)
CASE 2, the parties' interests do not perfectly overlap, then the maintenance of informative signaling systems raises an important problem...
Mathematics always gives us "answers", then...
WANT TO KNOW MORE ABOUT RELATIONSHIPS WOMEN-MEN?
DO ENJOY some GAME THEORY ;-)
and...to my Friends: NEXT!!!
Friday, November 5
LOVE letter
have been blaming myself
for not paying tribute to your memory enough since you're gone
for my unwillingness to accept your absence that for me IT IS NOT as such
for my forced distance to the phisical reality
for not crying over in public
for my uncapability to share my feelings with anybody else
have been finding relief in
your smiling picture by my wall, your lively smile by my heart
your plenty presents around, gathered over days months years
your many written & unwritten messages along the way of our friendship
listening to some favourite songs of yours
flicking through our pics' folders
sobbing on my own in unespected occasions
repeating myself all the wise principles you thought me over and over
putting more energy in daily life "routine"
writing to you in this precise moment like in many other ones I would have liked to but I put aside my feeling for shame and covered by other emotions' overlaps
life is fine here on earth, so far so good ;-)
new job - as i told you weeks before you left - just to give myself some fresh air, needed for a change both in professional & private life - remember that last conversation of ours?
goes up and down, sometimes I get bored sometimes I get busy and cope with time passing by in a smooth way
personal projects going better, I got stuck partly since I missed your encouragement I guess, partly because of (kind of unespected) overwhelming feelings along my path
no complains, anyhow - something is moving, slowly but moving, I am confident I will make it...
my flat is doing well, it also misses you a lot but my only plant is still alive (mummy keeps on shouting over the phone that it was definitely better when you were taking care of it)
my friends are there, helped a lot after february to keep me company and the closest ones even wiped some drops of mine away - thanking them will never be enough but still...
a dearest old friend of mine is back to my life, we never got lost actually
Polly Pocket - that shared with me your departure until the very end - is nowadays my "sister in spirit" n°1, after some turbolences due to your missing "bridge", we are happily quite in balance and geographical distance does not bother our connection critically
I would say she would say
one thing you must be absolutely proud of me : "criceti" have been slowly disappearing from my theather, most probably they got bored of my emotional restlessness (can't blame them), so fun is over ;-) (untrue)
great news!!! Beloved n°1 is getting married to a lovely girl next year, I met her, despite other people disbelief we are going to prove once again that affection keeps alive lifelong notwithstanding whatever
well, Beloved n°2 seems to be around the world looking for himself, no contacts anymore (as per your kind suggestion), frankly would not mind to see him again for merely aesthetical reasons...nunca se sabe!
Beloved n°3 grasped a lot about me, ego-fights were quite regular as far as we were exposed to each other, but at the same time he got both my heart & my mind naked - I must admit I kept against all odds and despite your disapproval - believe me it was deeply worth
meanwhile, followed your advice to get somebody close, somebody mind-set as you were - and I do believe we are slowly trying to go beyond some shyness and doubts and whatever it comes along the way - and possibly enjoying life without burning too many neurons - gives me good positive energy - must be the deep blue...
what else? planning some trip as usual...maybe back to Sevilla soon remember our rhythm of eating pulpo a la gallega - sleeping - eating again - listening to flamenco?
you had kilos of pulpo (& I had chipirones in the night)
people that were (kind of) close to you tried to get close to me but maybe I was too honest to them when I faced them your last months - I simply used my words, you know me, anyways does not matter so much in the end
I do miss you for every single step I take
but at the same time you are with me - always - since what we were is untouched
please, do not blame me now since I share my pain with my "public"
I DO LOVE YOU, still
for not paying tribute to your memory enough since you're gone
for my unwillingness to accept your absence that for me IT IS NOT as such
for my forced distance to the phisical reality
for not crying over in public
for my uncapability to share my feelings with anybody else
have been finding relief in
your smiling picture by my wall, your lively smile by my heart
your plenty presents around, gathered over days months years
your many written & unwritten messages along the way of our friendship
listening to some favourite songs of yours
flicking through our pics' folders
sobbing on my own in unespected occasions
repeating myself all the wise principles you thought me over and over
putting more energy in daily life "routine"
writing to you in this precise moment like in many other ones I would have liked to but I put aside my feeling for shame and covered by other emotions' overlaps
life is fine here on earth, so far so good ;-)
new job - as i told you weeks before you left - just to give myself some fresh air, needed for a change both in professional & private life - remember that last conversation of ours?
goes up and down, sometimes I get bored sometimes I get busy and cope with time passing by in a smooth way
personal projects going better, I got stuck partly since I missed your encouragement I guess, partly because of (kind of unespected) overwhelming feelings along my path
no complains, anyhow - something is moving, slowly but moving, I am confident I will make it...
my flat is doing well, it also misses you a lot but my only plant is still alive (mummy keeps on shouting over the phone that it was definitely better when you were taking care of it)
my friends are there, helped a lot after february to keep me company and the closest ones even wiped some drops of mine away - thanking them will never be enough but still...
a dearest old friend of mine is back to my life, we never got lost actually
Polly Pocket - that shared with me your departure until the very end - is nowadays my "sister in spirit" n°1, after some turbolences due to your missing "bridge", we are happily quite in balance and geographical distance does not bother our connection critically
I would say she would say
one thing you must be absolutely proud of me : "criceti" have been slowly disappearing from my theather, most probably they got bored of my emotional restlessness (can't blame them), so fun is over ;-) (untrue)
great news!!! Beloved n°1 is getting married to a lovely girl next year, I met her, despite other people disbelief we are going to prove once again that affection keeps alive lifelong notwithstanding whatever
well, Beloved n°2 seems to be around the world looking for himself, no contacts anymore (as per your kind suggestion), frankly would not mind to see him again for merely aesthetical reasons...nunca se sabe!
Beloved n°3 grasped a lot about me, ego-fights were quite regular as far as we were exposed to each other, but at the same time he got both my heart & my mind naked - I must admit I kept against all odds and despite your disapproval - believe me it was deeply worth
meanwhile, followed your advice to get somebody close, somebody mind-set as you were - and I do believe we are slowly trying to go beyond some shyness and doubts and whatever it comes along the way - and possibly enjoying life without burning too many neurons - gives me good positive energy - must be the deep blue...
what else? planning some trip as usual...maybe back to Sevilla soon remember our rhythm of eating pulpo a la gallega - sleeping - eating again - listening to flamenco?
you had kilos of pulpo (& I had chipirones in the night)
people that were (kind of) close to you tried to get close to me but maybe I was too honest to them when I faced them your last months - I simply used my words, you know me, anyways does not matter so much in the end
I do miss you for every single step I take
but at the same time you are with me - always - since what we were is untouched
please, do not blame me now since I share my pain with my "public"
I DO LOVE YOU, still
Wednesday, November 3
la Nouvelle Dimension - reportage de Tanger
quelques jours dans le nord du Maroc, entre Tanger Tétouan et Asilah...
et tout peut changer, parce que "la beauté se trouve dans les yeux de qui regarde"
un voyage un peu bizarre, sans un vrai amusement mais plutôt avec une attention aux détailles, normalement endormie par le rythme plus habituel de BXL
une expérience enrichissante, en synthèse, une grande quantité de mots ne servirait pas non plus à la partager comment il faut, mais bon, quand même, j'ai envie de vous en parler...
on se réveille le vendredi matin et on prend notre petit déjeuner marocaine, on se régale...et après on se met en marche pour la medina et la kasbah
couleurs, lumière, enfants partout parce que c'est vendredi et c'est bien la fête
une femme âgée dans une des ruelles de la kasbah nous fait signe de bien vouloir entrer chez elle parce qu'elle ne sait pas nous indiquer la sortie...elle nous sourit de tout son coeur
(c'est un des moments les plus beaux dont je vais garder le souvenir)
et puis c'est le tour des ruelles, encore et encore, le bazaar berbère, la pharmacie, les enfants qui crient, le temps ne passe jamais
on rentre pour une petite siesta, on est encore fatiguées par le voyage
on sort autour de 6 heures du soir et la ville a changé, la place du grand socco semble plus propre, on prend notre thé à la menthe fraîche à la cinémathèque (qui va devenir notre "refuge"), on fait connaissance avec des touristes italiens et on marche pour la "ville nouvelle"...
Place de France, Terrasse de Parasseux: les hommes sont tous assis dans les cafés, ils nous regardent avec un mixte de curiosité et surprise, je crois aussi avoir lu un peu de reproche quand même...les femmes, elle ne sont pas assises aux cafés, il y en a juste quelques unes dans les rues, ambiance hors de temps...ça produit un effet de fermeture en moi, je ne veux pas être considérée différente mais je le suis, inévitablement...j'ai un peu de manque d'air, au fait
et puis c'est Tétouan, dans la medina la sensation d'être au bout de souffle est encore plus forte - je continue à me sentir "différente" mais il faut que j'y prenne l'habitude, c'est juste une question culturelle, je me dis...
et puis après c'est Asilah, le côté atlantique, tout est calme - on dirait d'être en Europe pour l'attitude des gens et la sensation de familiarité, je ne me sens pas une étrangère ici, les regards sont plus souples...on fait des bonnes affaires dans un bazaar très sympa, le propriétaire est patient avec mon incapacité de choisir les bonnes babouches et le bon sac...
merci à Cédris, notre taxiste de confiance pendant le 4 jours de voyage,
homme d'origine berbère très cultivé, qui nous accompagne dans ces tours et nous explique beaucoup de choses... je pose toutes les questions qui tournent dans ma tête, je cherche désespérément de comprendre ce contexte tellement nouveau à mes yeux...le besoin de savoir me dévore
on rentre à Tanger pour la dernière soirée, le restaurant où on a déjà mangé une délicieuse tajine est malheureusement fermé donc "on doit" se diriger vers un endroit plus européen - le seul qui nous voyons dans la proximité de notre riad, au fait...et on partage toutes ces réflexions, cette sensation de "hors du temps" et presque "sans temps"
et puis on se couche tôt dans l'espoir que notre avion de retour à BXL soit en horaire cette fois ici et on dorme comme des bébés pour récupérer encore la fatigue du voyage et l'étonnement de cette "nouvelle dimension"
et puis je rentre chez moi et je me rétrouve, encore une fois, avec toutes une série de bonnes propositions à mettre en place parce que j'ai une seule vie, dont je ne peux pas me plaindre du tout, et je me sens obligée d'en profiter...
pas d'excuses
et tout peut changer, parce que "la beauté se trouve dans les yeux de qui regarde"
un voyage un peu bizarre, sans un vrai amusement mais plutôt avec une attention aux détailles, normalement endormie par le rythme plus habituel de BXL
une expérience enrichissante, en synthèse, une grande quantité de mots ne servirait pas non plus à la partager comment il faut, mais bon, quand même, j'ai envie de vous en parler...
on se réveille le vendredi matin et on prend notre petit déjeuner marocaine, on se régale...et après on se met en marche pour la medina et la kasbah
couleurs, lumière, enfants partout parce que c'est vendredi et c'est bien la fête
une femme âgée dans une des ruelles de la kasbah nous fait signe de bien vouloir entrer chez elle parce qu'elle ne sait pas nous indiquer la sortie...elle nous sourit de tout son coeur
(c'est un des moments les plus beaux dont je vais garder le souvenir)
et puis c'est le tour des ruelles, encore et encore, le bazaar berbère, la pharmacie, les enfants qui crient, le temps ne passe jamais
on rentre pour une petite siesta, on est encore fatiguées par le voyage
on sort autour de 6 heures du soir et la ville a changé, la place du grand socco semble plus propre, on prend notre thé à la menthe fraîche à la cinémathèque (qui va devenir notre "refuge"), on fait connaissance avec des touristes italiens et on marche pour la "ville nouvelle"...
Place de France, Terrasse de Parasseux: les hommes sont tous assis dans les cafés, ils nous regardent avec un mixte de curiosité et surprise, je crois aussi avoir lu un peu de reproche quand même...les femmes, elle ne sont pas assises aux cafés, il y en a juste quelques unes dans les rues, ambiance hors de temps...ça produit un effet de fermeture en moi, je ne veux pas être considérée différente mais je le suis, inévitablement...j'ai un peu de manque d'air, au fait
et puis c'est Tétouan, dans la medina la sensation d'être au bout de souffle est encore plus forte - je continue à me sentir "différente" mais il faut que j'y prenne l'habitude, c'est juste une question culturelle, je me dis...
et puis après c'est Asilah, le côté atlantique, tout est calme - on dirait d'être en Europe pour l'attitude des gens et la sensation de familiarité, je ne me sens pas une étrangère ici, les regards sont plus souples...on fait des bonnes affaires dans un bazaar très sympa, le propriétaire est patient avec mon incapacité de choisir les bonnes babouches et le bon sac...
merci à Cédris, notre taxiste de confiance pendant le 4 jours de voyage,
homme d'origine berbère très cultivé, qui nous accompagne dans ces tours et nous explique beaucoup de choses... je pose toutes les questions qui tournent dans ma tête, je cherche désespérément de comprendre ce contexte tellement nouveau à mes yeux...le besoin de savoir me dévore
on rentre à Tanger pour la dernière soirée, le restaurant où on a déjà mangé une délicieuse tajine est malheureusement fermé donc "on doit" se diriger vers un endroit plus européen - le seul qui nous voyons dans la proximité de notre riad, au fait...et on partage toutes ces réflexions, cette sensation de "hors du temps" et presque "sans temps"
et puis on se couche tôt dans l'espoir que notre avion de retour à BXL soit en horaire cette fois ici et on dorme comme des bébés pour récupérer encore la fatigue du voyage et l'étonnement de cette "nouvelle dimension"
et puis je rentre chez moi et je me rétrouve, encore une fois, avec toutes une série de bonnes propositions à mettre en place parce que j'ai une seule vie, dont je ne peux pas me plaindre du tout, et je me sens obligée d'en profiter...
pas d'excuses
Mind sharing?
HOW FEW times have you fallen in love longlife? how old were you?
(around 3 - 19, 28, 31)
HOW MANY have you cried over a movie? last time - where - why?
(quite many - sunday night, UGC toison d'or, Happy Few movie)
HOW FEW songs make you smile/cry at the same time over?
(almost all Alanis' ones)
HOW FAR from Bxl is your preferred city?
(1300 KMs - Madrid)
HOW CLOSE to you do your friends live?
(distance is everything but geographical)
HOW LONG does it take to prepare your favourite food?
(half an hour to grill some gamberoni)
HOW SHORT is a best-loved book of yours?
(+/- 130 - Se résoudre aux adieux, P. Besson)
HOW INTENSE has been the last journey of yours?
(quite high, Tanger)
HOW ... ... ...
DO YOU MIND SHARING YOUR LISTS???
(around 3 - 19, 28, 31)
HOW MANY have you cried over a movie? last time - where - why?
(quite many - sunday night, UGC toison d'or, Happy Few movie)
HOW FEW songs make you smile/cry at the same time over?
(almost all Alanis' ones)
HOW FAR from Bxl is your preferred city?
(1300 KMs - Madrid)
HOW CLOSE to you do your friends live?
(distance is everything but geographical)
HOW LONG does it take to prepare your favourite food?
(half an hour to grill some gamberoni)
HOW SHORT is a best-loved book of yours?
(+/- 130 - Se résoudre aux adieux, P. Besson)
HOW INTENSE has been the last journey of yours?
(quite high, Tanger)
HOW ... ... ...
DO YOU MIND SHARING YOUR LISTS???
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